Cette fois, les délais ont été de trois mois. Et pour répondre à la question, il s'agit du quartier maritime autour duquel nous allons naviguer, mais pour ne pas balancer directement (l'agent instructeur qui a traité le dossier s'est montrée tout à fait charmante, "... mais ma hiérarchie, avec les constructions amateur, vous comprenez...") je dirai seulement qu'il s'agit du quartier qui doit être sur la latitude pas loin de la plus Sud de la France continentale...
Ils auraient pu tout aussi bien me demander de me justifier sur d'autres points. Tout en ayant reconnu la qualité des plans ( "...mais parfois c'est écrit un peu petit...". Ben oui, même par morceaux, imprimés au format A4 - Ils voulaient du papier, pas de fichiers - si on veut encore voir le dessin...).
Pour le reste, j'ai enfin remis en place ce qui fait, pour mon fils et moi, du moins, la raison d'être principale de ce projet, c'est à dire les plateformes de mise à l'eau copieusement imprégnées de résine. Au départ le programme, toujours économe, n'en prévoyait qu'une sur Bâbord tandis qu'une échelle repliable basique devait être installée à poste fixe sur la poupe Tribord. Mais mon fils m'a dit : "...non, deux chasseurs, deux plateformes...". Alors qu'il est toujours prêt pour se mettre à l'eau bien avant moi... Double de temps de fabrication et une échelle qui coûte un bras.
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