J'ai peut être attrapé, moi aussi une " Wedellite " ou une "Wedell mania" mais je suis un peu du même genre.
Acheter ce qu'il faut d'outillage, mais a condition qu'il soit ultra polyvalent, voir universel ou détournable de sa vocation première.
par exemple, pour évider l'intérieur de mon bout dehors :
Évider l'intérieur par des traits successifs à la scie circulaire, en réglant la profondeur de la lame
Un ch'tit coup de ciseau à bois ( et oui, j'ai ça dans ma caisse à clous)
pour enlever les restes.
On fini à la lime électrique, un outil universel s'il en est.
On colle et ça roule.
N'oubliez pas que le bois, c'est du Pin d'Orégon de récup' qui vient des anciennes baies vitrées de la maison de mon fils, on est pégreuleux ou on ne l' est pas.
Quand à la solidité du " truc ", je l'ai testée cet été,bien contre mon grée , j'explique :
Une petite envie de titiller le bateau du collègue, et la furieuse envie de ne pas céder à son vigoureux " TRIBORD AMURES ".
Au moment de lui céder la priorité, il ne faut pas exagérer quand même, le vent refuse, un manque à virer, mon bateau abat et je l'embroche bien a la perpendiculaire, heureusement au dessus du pont.
Bilan :
Mon bout dehors " low coast " lui a pété un chandelier avant de s'encastrer entre la base du mat et le hale bas de bôme, et moi, comme un couillon, à la perpendiculaire du canot du copain.
Ben. . .
Bilan :
collègue : 1 chandelier à ressouder
moi : seulement quelques égratignures sur mon joli vernis Tonkikinois
Même pas cassé le bougrillot.
Comme quoi, la "Wedell attitude", c'est à dire tout faire avec rien, ça a du bon, non ?