chavirage
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Re: chavirage
Et donc , kerieg, tes reserves de flottaison sont sous les bancs? Et avant arriere? Les defenses te feraient du « lateral » qui te manquaient pour rester debout? Et ça date de quand? Depuis, empan nage interdit?
« C' est dans l'absence des bons moyens qu'il y a du mérite à bien faire » (Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren »)
- Kerieg
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Re: chavirage
Les defenses sont attachées d’avant en arriere au niveau du liston a l’interieur
Sur la demi avant pour laisser de la place a l’arriere, sinon pas de place pour le barreur.
Ces reserves de flottabilité n'empêchent pas le chavirage, mais limitent l’effet de cuillère quand on redresse le bateau. Apres essai sur la plage,un bon tiers en moins à écoper.
Sur la demi avant pour laisser de la place a l’arriere, sinon pas de place pour le barreur.
Ces reserves de flottabilité n'empêchent pas le chavirage, mais limitent l’effet de cuillère quand on redresse le bateau. Apres essai sur la plage,un bon tiers en moins à écoper.
Re: chavirage
ah oui d' accord, cela aide le bateau chaviré à flotter plus haut , pour "stabilité latérale" , je pensais lorsque le bateau est rempli d' eau
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Re: chavirage
test chavirage:
Ce jeudi 10 juin, nouvelle mise à l eau a Serre-Ponçon; comme d habitude , je suis accueilli par ce petit thermique d ouest 3-4 établi... Je mets à l eau, effectue un petit tour aux avirons, puis je grée à quai ; prêt à appareiller, je vois qu' un matafian s' est dénoué, je remonte donc sur le quai pour refaire le noeud, le bateau se trouvant travers au vent, legèrement contre-gité puisque je le retiens par l antenne . Soudain, une rafale, je finis mon noeud in extremis, je relâche l'antenne, et impuissant j' observe le drame : le bateau repart à la gite sur l' autre bord, la voile étant à bido , prend bien le vent, et c 'est le chavirage, à quai, avec personne à bord !
Fort désappointé, après une minute de sidération, je me déshabille, descends à l' eau et ramène l' "épave" vers la rive.
Le côté positif est que le bateau flotte très bien, assez haut sur l' eau , il ne peut capoter en raison du gréément bois qui équilibre le bateau sur la tranche. Par contre, il est tellement stable dans cette position qu' il est impossible à redresser ( mat+voile+antenne sont trop lourds ) ; dans l' eau ( j' ai pied ) je frappe un "bout de redressement en tête de mat" qui m' aide à redresser plutôt facilement , après avoir amené quand même l' antenne ; le bateau flotte bien avec 10-20 cm de franc bord émergé, mais je ne me risque pas à remonter à bord, car cela me semble fort instable ; je l' échoue, dégrée tout et commence à vider au seau... au milieu des cordages espars, avirons assurés par des bouts , le tout flottant dans le bateau, c' est bien compliqué, mais à la longue ça se vide, finalement plus rapidement que prévu. Je finis à l' écope, et décide de regréer pour sortir quand même. Hélas il est la fin de l' apres-midi, le temps s' est un peu gâté, j' entends au loin gronder l' orage, le vent forcit ( winds-up aura relevé des rafales à 22 noeuds) ,je me dégonfle, je remballe tout et je rentre...
Moralité : le bateau chaviré flotte parfaitement (si l' on peut dire), donc ma flottabilité est bonne, par contre j' ai des doutes pour le redressage en conditions de navigation, avec vent et clapot.
Ce jeudi 10 juin, nouvelle mise à l eau a Serre-Ponçon; comme d habitude , je suis accueilli par ce petit thermique d ouest 3-4 établi... Je mets à l eau, effectue un petit tour aux avirons, puis je grée à quai ; prêt à appareiller, je vois qu' un matafian s' est dénoué, je remonte donc sur le quai pour refaire le noeud, le bateau se trouvant travers au vent, legèrement contre-gité puisque je le retiens par l antenne . Soudain, une rafale, je finis mon noeud in extremis, je relâche l'antenne, et impuissant j' observe le drame : le bateau repart à la gite sur l' autre bord, la voile étant à bido , prend bien le vent, et c 'est le chavirage, à quai, avec personne à bord !
Fort désappointé, après une minute de sidération, je me déshabille, descends à l' eau et ramène l' "épave" vers la rive.
Le côté positif est que le bateau flotte très bien, assez haut sur l' eau , il ne peut capoter en raison du gréément bois qui équilibre le bateau sur la tranche. Par contre, il est tellement stable dans cette position qu' il est impossible à redresser ( mat+voile+antenne sont trop lourds ) ; dans l' eau ( j' ai pied ) je frappe un "bout de redressement en tête de mat" qui m' aide à redresser plutôt facilement , après avoir amené quand même l' antenne ; le bateau flotte bien avec 10-20 cm de franc bord émergé, mais je ne me risque pas à remonter à bord, car cela me semble fort instable ; je l' échoue, dégrée tout et commence à vider au seau... au milieu des cordages espars, avirons assurés par des bouts , le tout flottant dans le bateau, c' est bien compliqué, mais à la longue ça se vide, finalement plus rapidement que prévu. Je finis à l' écope, et décide de regréer pour sortir quand même. Hélas il est la fin de l' apres-midi, le temps s' est un peu gâté, j' entends au loin gronder l' orage, le vent forcit ( winds-up aura relevé des rafales à 22 noeuds) ,je me dégonfle, je remballe tout et je rentre...
Moralité : le bateau chaviré flotte parfaitement (si l' on peut dire), donc ma flottabilité est bonne, par contre j' ai des doutes pour le redressage en conditions de navigation, avec vent et clapot.
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Re: chavirage
Consigne à mes passagers: ce bateau est tres stable, mais......si on devait chavirer...ne lachez rien, restez accroché à un bout, à la coque, a tout ce qui peut nous relier au bateau.
Un voile aviron ça flotte, c’est conçu comme ça.
Maintenant pour s’en sortir on fait comment ?
Déjà le spectacle est désolant, le seau indispensable pour vider la carène dérive à 100 mètres, j’aurais du y mettre un bout...
Les fumigènes, la vhf sont dans un coffre étanche, mais sous l’eau...
Quand on est parti, il faisait beau mais ce soir à 20h tout le monde est devant la télé.
Dans cette eau a 15 degrés je n’ai même pas froid, l’adrélanine sans doute...
Le copain de 130 kg commence a verdir, comme quoi la graisse qui protège ,c’est du pipeau...
Ouf un mat à l'horizon, des anglais, pas besoin de traduction pour se comprendre..tank you!
Epilogue: on avait tout faux mais on repart demain en essayant d’en tirer les leçons .
C'était mon deuxième naufrage,j’essaille de me préparer à la suite.
Cette année je vais peut être faire une démonstration à la fête de la SNSM. Beaucoup n’on jamais vécu un chavirage....
Un voile aviron ça flotte, c’est conçu comme ça.
Maintenant pour s’en sortir on fait comment ?
Déjà le spectacle est désolant, le seau indispensable pour vider la carène dérive à 100 mètres, j’aurais du y mettre un bout...
Les fumigènes, la vhf sont dans un coffre étanche, mais sous l’eau...
Quand on est parti, il faisait beau mais ce soir à 20h tout le monde est devant la télé.
Dans cette eau a 15 degrés je n’ai même pas froid, l’adrélanine sans doute...
Le copain de 130 kg commence a verdir, comme quoi la graisse qui protège ,c’est du pipeau...
Ouf un mat à l'horizon, des anglais, pas besoin de traduction pour se comprendre..tank you!
Epilogue: on avait tout faux mais on repart demain en essayant d’en tirer les leçons .
C'était mon deuxième naufrage,j’essaille de me préparer à la suite.
Cette année je vais peut être faire une démonstration à la fête de la SNSM. Beaucoup n’on jamais vécu un chavirage....
Re: chavirage
Pas besoin d'appeler les secours au moins ! Pas trop de spectateurs autour de toi à ce moment là ?
Tu aurais pu en profiter pour tenter le ressalage sans avoir pied, tu aurais encore plus appris. Ce qui est sûr, c'est qu'il faut affaler avant de tenter le ressalage. Voire même si ton bateau reste trop instable, démâter et utiliser le gréement dans l'eau pour stabiliser le bateau. À essayer volontairement pour ne pas avoir de mauvaises surprises au milieu du lac
Je suis un acrobate masochiste ordinaire.
Accessoirement président de l'asso, modo, webmaster.
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- fregate33
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Re: chavirage
Lorem Ipsum a écrit : ↑11 mars 2021 19:21 Les Américains disent qu'aucune pompe ne peut égaler un équipier paniqué avec un seau...
Deux soiffards avec une chope chacun ?
- fregate33
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Re: chavirage
Bassin d'Arcachon, en Juillet ou Aout, je ne me souviens plus, après un détour par les cabanes Tchanquées, où je venais d'embarquer une équipière novice sur le retour du banc d'Arguin, jusqu'au port de La Teste.
Vent arrière, changement d'amure par empannage un peu osé. Mon Skerry, qui n'est pas un bateau très stable, avait de surcroit le défaut d'avoir des espars trop lourds. Mea culpa, c'est moi qui les avais faits. Mea culpa, j'ai pensé que ça allait passer.
Plouf, nous voilà au jus. Là, je dois dire que l'entraînement a porté ses fruits car l'enchainement de ce qu'il fallait faire est revenu naturellement : mettre le nez au vent, le maintenir ainsi, (le boulot de l'équipière) choquer, sortir la dérive, redresser, remonter à bord sans le retourner derechef, se placer sur l'arrière pour que le puits reste au dessus de l'eau, vider au seau... Pendant ce temps là un moteur s'est mis à notre vent et a aidé à la stabilité. Nous sommes repartis sans encombre, et à part une babiole sans grande utilité, rien n'a dû être repêché. L'équipière ne m'en a pas voulu, mais pendant tout le trajet de retour, toujours plein arrière, je serrais secrètement les fesses pour que ça ne se reproduise pas !
Aujourd'hui, le poids de mon gréement a été divisé par deux et je m'en porte bien mieux.
Vent arrière, changement d'amure par empannage un peu osé. Mon Skerry, qui n'est pas un bateau très stable, avait de surcroit le défaut d'avoir des espars trop lourds. Mea culpa, c'est moi qui les avais faits. Mea culpa, j'ai pensé que ça allait passer.
Plouf, nous voilà au jus. Là, je dois dire que l'entraînement a porté ses fruits car l'enchainement de ce qu'il fallait faire est revenu naturellement : mettre le nez au vent, le maintenir ainsi, (le boulot de l'équipière) choquer, sortir la dérive, redresser, remonter à bord sans le retourner derechef, se placer sur l'arrière pour que le puits reste au dessus de l'eau, vider au seau... Pendant ce temps là un moteur s'est mis à notre vent et a aidé à la stabilité. Nous sommes repartis sans encombre, et à part une babiole sans grande utilité, rien n'a dû être repêché. L'équipière ne m'en a pas voulu, mais pendant tout le trajet de retour, toujours plein arrière, je serrais secrètement les fesses pour que ça ne se reproduise pas !
Aujourd'hui, le poids de mon gréement a été divisé par deux et je m'en porte bien mieux.
Re: chavirage
Finalement on a tous ou presque une expérience de dessalage avec nos voile-avirons ! Raison de plus pour prévoir et s'entraîner, histoire que ça ne reste que des anecdotes.
Je remarque que
- dans tous les cas relatés le chavirage s'est passé au vent arrière (je ne tiens pas compte du dessalage à quai ), au près on embarque pas mal d'eau mais on ne chavire pas.
- affaler la voile facilite le redressement de la coque et la laisser traîner dans l'eau stabilise le bateau pendant qu'on écope
- TOUT attacher, et en premier le seau !
- prévoir un bout' ou autre système pour se hisser à bord, et vérifier qu'on y arrive avec toutes ses fringues trempées et un gilet de sauvetage qui encombre
- de la flottabilité latérale permet d'embarquer moins d'eau lors du redressement et empêche le phénomène de carène liquide
Mes empannages se passent beaucoup mieux depuis que je suis les cours de Mr Storer : https://www.storerboatplans.com/sailing ... ail-boats/
Je remarque que
- dans tous les cas relatés le chavirage s'est passé au vent arrière (je ne tiens pas compte du dessalage à quai ), au près on embarque pas mal d'eau mais on ne chavire pas.
- affaler la voile facilite le redressement de la coque et la laisser traîner dans l'eau stabilise le bateau pendant qu'on écope
- TOUT attacher, et en premier le seau !
- prévoir un bout' ou autre système pour se hisser à bord, et vérifier qu'on y arrive avec toutes ses fringues trempées et un gilet de sauvetage qui encombre
- de la flottabilité latérale permet d'embarquer moins d'eau lors du redressement et empêche le phénomène de carène liquide
Mes empannages se passent beaucoup mieux depuis que je suis les cours de Mr Storer : https://www.storerboatplans.com/sailing ... ail-boats/
Je suis un acrobate masochiste ordinaire.
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Re: chavirage
Mes dessalages (volontaires ou non) n'ont pas encore eu lieu dans un "voile-aviron" mais en dériveur, canoë, kayak et avec ma "périssoire d'avirons"... et je pense que pour l'essentiel c'est assez proche
Je rejoins la récap de To ... et surtout l'intérêt d'attacher tout ce qui va servir et/ou à quoi on tient (la seule fois où j'ai oublié de tout attacher quelque chose, je ai perdu une caméra que j'avais acheté la veille ...
Pour remonter, il y a quelque chose qui est pas mal utilisé en kayak quand on arrive pas à esquimauter, c'est la "paddle-float"; c'est tout simplement une vessie gonflable que l'on attache au bout de la pagaie et qui permet de s'appuyer sur elle sans qu'elle s'enfonce complétement. Quand j'ai testé le dessalage avec ma périssoire, j'en ai improvisé une simplement en attachant un gilet au bout de l'aviron ce qui m'a permis de bénéficier d'un marche-pied, certes un peu instable et sous-marin, mais qui m'a grandement facilité la remontée.
Je rejoins la récap de To ... et surtout l'intérêt d'attacher tout ce qui va servir et/ou à quoi on tient (la seule fois où j'ai oublié de tout attacher quelque chose, je ai perdu une caméra que j'avais acheté la veille ...
Pour remonter, il y a quelque chose qui est pas mal utilisé en kayak quand on arrive pas à esquimauter, c'est la "paddle-float"; c'est tout simplement une vessie gonflable que l'on attache au bout de la pagaie et qui permet de s'appuyer sur elle sans qu'elle s'enfonce complétement. Quand j'ai testé le dessalage avec ma périssoire, j'en ai improvisé une simplement en attachant un gilet au bout de l'aviron ce qui m'a permis de bénéficier d'un marche-pied, certes un peu instable et sous-marin, mais qui m'a grandement facilité la remontée.
Re: chavirage
Ce peut être un bout qui court le long de la coque en permanence (les Corsairistes laisse pendre les écoutes de spi non utilisées).
On peut aussi prévoir une "encoche" dans le safran (qui permet de coincer son pied) et remonter ainsi par l'arrière.
On voit ça sur certains bateaux traditionnels, genre Yole de Bantry ou sur la chaloupe de Bourgneuf (ou sur mon Malouin...).
Marin de marée basse.
- fregate33
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Re: chavirage
Pour remonter à bord de mon Skerry rempli d'eau sans le retourner, après avoir essayé un peu tout, c'est carrément par le travers la meilleure solution, au milieu du bateau : le plus à plat ventre possible, en tendant les bras loin vers le bord opposé pour attraper, par exemple le banc central, et en tirant un bon coup tout en donnant ou coup de propulsion avec les jambes. C'est un coup (beaucoup de coups dans mes phrases, du coup) à prendre, mais ça marche pas mal. Si on l'a déjà pratiqué à l'exercice, ça se fait bien mais la première fois on s'y reprend à plusieurs... coups.
Cela dit, j'avais avant cette aventure ajouté des blocs de polystyrène extrudé sur les côtés sous des bancs non prévus au plan, et ça aide bien à la stabilité coque remplie. Car mon tout premier chavirage avec ce bateau a été bien plus épique, et si il ne s'était pas produit tout près du bord, je doute que j'aurais été en mesure de reprendre ma route comme j'ai pu le faire la foi suivante.
Cela dit, j'avais avant cette aventure ajouté des blocs de polystyrène extrudé sur les côtés sous des bancs non prévus au plan, et ça aide bien à la stabilité coque remplie. Car mon tout premier chavirage avec ce bateau a été bien plus épique, et si il ne s'était pas produit tout près du bord, je doute que j'aurais été en mesure de reprendre ma route comme j'ai pu le faire la foi suivante.
- jfrancois
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- Loisirs : bois dans tous ses états
surtout s'il est rond ou qu'il flotte - Localisation : manosque
Re: chavirage
Bert05 , tu participes aux voiles d'en haut cette année ?
c'est de vendredi à dimanche
JF
c'est de vendredi à dimanche
JF
quand je réalise une belle manœuvre c'est que j'ai foiré quelque part.
un vieux rocher est toujours plus solide qu'un bateau neuf .
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Re: chavirage
Oups j avais pas vu ton message… J aurais bien voulu, j etais “presque” prêt
mais comme tout ne se passe pas toujours comme prévu, helas , pas de voiles d en haut… et toi tu y etais? Il y avait de belles photos dans fasbook
mais comme tout ne se passe pas toujours comme prévu, helas , pas de voiles d en haut… et toi tu y etais? Il y avait de belles photos dans fasbook
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Re: chavirage
Test chavirage 2 : le 16 juin de nouveau a serreponcon, apres quelques bords, je degrée , tire la coque là où pas pied, je mets le plat-bord dans l’eau: j embarque 200litres d eau, et le bateau se remet à plat….? Chavirage raté!!! Je place mes pieds sur la lisse, et pour verser le bateau lesté de son eau, j agrippe le banc de nage pour faire levier, et j arrive à le retourner en insistant=> encourageant d observer une relative stabilité. La coque a l envers flotte tres bien, je monte debout sur la sole, c est très stable grace a mes polystyrenes. Pour le remettre a l endroit, les pieds sur la “feuille” le rebord de la sole fait prise pour les mains, je réussis à le retourner, malgré un effet “ventouse” ; je remonte a bord tres facilement, rempli d eau mais avec 10-15 cm de francbord residuel , c est plus stable que je ne pensais, mes dispositifs d assechement (mon seau et mon écope ) entrent en action et la coque est relativement vite vidée
J ai hate du prochain test : au large (200m ça ira) et bateau gréé
J ai hate du prochain test : au large (200m ça ira) et bateau gréé
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