On reste toujours dans l'interprétation, les aff mar te répondront de façon claire et certaine (je te conseille le quartier de st Malo où les constructeurs amateurs sont bien reçus).Article 245-4.03
Conditions d’étanchéité, de stabilité et de flottabilité des embarcations propulsées par l’énergie humaine. Les embarcations propulsées par l’énergie humaine qui ne sont pas des engins de plage doivent répondre aux exigences suivantes :
I. Les parties exposées aux intempéries évacuent en permanence par gravité l’eau reçue, l’embarcation est alors considérée comme auto-videuse.
II. Si la structure de l’embarcation ne répond pas à l’alinéa précédent, le flotteur peut être rendu étanche au moyen d’une jupe assujettie à l’utilisateur et de bouchons de trappes étanches reliés à la coque.
III. Les embarcations disposent d’une ou plusieurs réserves de flottabilité leur permettant de flotter avec la charge maximale recommandée en cas d'envahissement total du flotteur.
Dans ce cas, la flottabilité résiduelle nécessaire est assurée par une combinaison de la flottabilité des matériaux de la structure, de volumes de flottabilité gonflés en permanence, de mousse à cellules fermées ou de compartiments étanches
Mais quand on lit les 3 alinéas on se dit qu'ils ne sont pas à cumuler mais au choix : soit I. autovideurs soit II.jupe et trappes étanches (kayak en gros) soit III. Réserves de flottabilités
Dans l'alinéa I. que concernent les "parties exposées aux intempéries" ? Si c'est juste le pont, il suffit qu'il s'écoule hors du cockpit (c'est mieux quand même !) Mais c'est toujours de l'interprétation.
L'alinéa III. , s'il suffit à lui même, permettrait d'immatriculer un canot à avirons du moment qu'il possède des réserves de flottabilité. Et ça, ce serait très simple.