48 heures... ou presque

Vos bons plans pour naviguer en Atlantique.

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Gwengolo
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Re: 48 heures... ou presque

Message non lu par Gwengolo »

JIBI a écrit :Je constate aussi que vouloir redresser le bateau sans affaler est une quasi-utopie .
Cela dépend peut-être du bateau et de la surface de voile au moment du dessalage.
Car je crois que Mirmily avait réussi à redresser le bateau voile haute, mais les deux ris pris...
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mirmily
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Re: 48 heures... ou presque

Message non lu par mirmily »

En effet. :wink: Mais il me semble que le bateau avait pivoté et était couché la voile au vent.
Ce qui a du forcément aider au redressement. C'est pour cette raison que j'aurais aimé avoir des photos et/ou vidéos de l'évènement. Car j'ai agi plus par réflexe que par réflexion. Il y a une cinquantaine d'années, on enchainait en école de voile un nombre impressionnant de dessalages. Les automatismes sont toujours là.
:tchin:.
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alien
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Re: 48 heures... ou presque

Message non lu par alien »

mirmily a écrit :il me semble que le bateau avait pivoté et était couché la voile au vent
Si le bateau s'était couché au vent, j'aurais mouillé ma cigarette.
Il a peut être tourné après.

Mes derniers souvenirs :
- sortie du port relativement difficile.
Le bateau avait du mal à remonter au vent.
Tu as même dit qu'il était très mou.
- passé la balise verte tu as déclaré :
"je vais essayer quelque chose"
- s'en suivirent quelques manœuvres dont un genre de virement de bord.
- engoncé à l'avant, je ne voyais rien.
- le bateau s'est arrêté vent de travers et s'est gentiment couché sous le vent.
- je l'ai accompagné en m'accrochant au liston "au vent"
- dans l'eau j'avais la voile sous les pieds. J'ai même pensé un instant que c'était le fond de la mer et que j'allais rentrer à pied :lol: .

Avant de dessiner une nouvelle voile, je pense qu'il faut s'interroger sur le gréement.
Le bout dehors et le foc roulé sur son emmagasineur ont du largement contribuer à rendre le bateau très mou dans les rafales.
En prenant des ris on avance le centre de voilure donc on contribue à rendre le bateau ardent.
De plus ce genre de carène dès qu'elle gite monte au vent et souvent passe sur la barre.
Et pourtant c'était le contraire ?
Mon expérience des dériveurs (légers et lourds) est que plus ça piaule plus on a avantage à remonter la dérive.
Là cela n'aurait rien apporté ?

Il faut choisir : sloop ou misainier.

Il faut réserver le foc pour les allures portantes. Ne l'envoyer que quand il y en a besoin.
Et ne pas le laisser à poste par tous temps.
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athanase
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Re: 48 heures... ou presque

Message non lu par athanase »

Super reportage et un récit palpitant :D
Merci To pour ce partage :wink:

:tchin:
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