Projet de plate en vrai bois

Discussions sur la construction de canots et de prames

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ronanm
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Projet de plate en vrai bois

Message non lu par ronanm »

Suite à la discussion dans ce fil http://www.bateaubois.com:8080/fora/vie ... sc&start=0, j'ai fouillé dans mes freeshiperies (sic) pour retrouver des ébauches de plans de plate.
Je me suis ensuite pris au jeu et j'arrive maintenant à ça:

Image

Le projet avance sur le papier, le seul problème est que je n'ais pas le moindre Kopeck pour démarrer la construction (en plus je viens de péter ma voiture :smt013 ).
Tout ça va me permettre de peaufiner le projet, pour arriver à quelque chose de très simple de construction et relativement performant.
Pour l'instant j'en suis à des formes en léger V (le gain de surface mouillée est impressionnant!) fonds bordés en diagonale renforcés par une lisse longitudinale: ça oblige à faire des gabarits mais on résout le problème des abouts de bordés trop fins au bouchain, on gagne du poids et de la rigidité par rapport à des allonges de fonds (le bois massif c'est lourd, il faut alléger dès qu'on le peut si on ne veut pas tomber dans une spirale infernale: je fais lourd, donc je dois faire solide, donc j'alourdis,donc je renforcedonc j'alourdis, donc...)
Les flancs sont bordés francs - ou à clins, je ne me suis pas encore décidé- sur 7 allonges en massif avec une latte ployée intermédiaire, à la manière des doris. Par contre, je prévois une serre de bouchain sérieuse sur laquelle les bordés de sole et le premier bordé des flancs seront collés au sikaflex sur primaire, c'est une entorse àla construction classique mais c'est un point particulièrement fragile: la rigidité de l'assemblage doit être parfaite mais on ne peut pas calfater correctement, sinon ou ouvre le bateau! J'attends vos remarques et critiques :smt097 Euh... Pardon: :smt116
le moteur, tu le gardes, c'est une sécurité. Mais l'hélice, tu la vires, ça freine trop!
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Message non lu par lledew »

Si tu le prends comme ça, on va effectivement hésiter à critiquer. :mrgreen:

[fonds bordés en diagonale renforcés par une lisse longitudinale: ça oblige à faire des gabarits mais on résout le problème des abouts de bordés trop fins au bouchain]

Je comprends bien le bordage en arêtes de poisson mais pourquoi faire des gabarits? et de quoi? Et quid de ces "abouts de bordés trop fins au bouchain? :smt017
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ronanm
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Message non lu par ronanm »

lledew a écrit :[fonds bordés en diagonale renforcés par une lisse longitudinale: ça oblige à faire des gabarits mais on résout le problème des abouts de bordés trop fins au bouchain]
Je comprends bien le bordage en arêtes de poisson mais pourquoi faire des gabarits? et de quoi?
Si je Borde en diagonale, c'est pour supprimer allonges de fond, ou du moins les rendre symboliques. La seule vraie liaison entre la rablure et le bouchain sera donc le bordé, à part une varangue au puits de dérive. Si je veux maitriser la forme, je dois donc construire sur gabarits... À moins que tu aies un autre solution?
Et quid de ces "abouts de bordés trop fins au bouchain? :smt017
Quand on borde "dans le bon sens" les bordés extérieurs des fonds se terminent en pointe au bouchain. En cas d'échouages fréquents, plus ou moins violents, ces pointes de bordés deviennent vite impossible à recalfater, il est très difficile de les reclouer, le bateau perd de la rigidité, les genoux des membrures sont plus sollicités et cassent... Il y a toujours la solution de rajouter un soufflage au bouchain, mais bonjour l'alourdissement et la trainée! Mon but est d'obtenir un bateau vivant et bon marcheur.
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Message non lu par lledew »

D'accord. Il s'agissait du cas où les bordés étaient longitudinaux.
Pour les gabarits, tu peux t'en passer si le V est constant ou peu évolutif. dans ce cas, le tableau et les varangues suffisent à donner la forme. (tu parles d'une seule varangue mais j'en mettrais deux à ta place, une devant et une derrière le puits. Elles n'ont pas besoin d'être très fortes, surtout si la tête du puits est prise dans un banc.
Pour la lisse de fond, tu peux faire l'impasse si tu bordes en 22 ou mieux en 25.
7 allonges, c'est suffisant. Pas besoin de membrure ployée intermédiaire. a moins que la latte ployée dont tu parles soit longitudinale?
Par contre, une forte serre de bancs me parait une nécéssité.
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Message non lu par ronanm »

J'aimerai autant que possible diminuer l'épaisseur du bordé pour gagner du poids, ça complique un peu la structure interne mais je pense qu'on gagne aussi en rigidité. La maille entre les allonges est proche de 50 cm, sans lattes intermédiaires le bordage à clin devient indispensable, ce qui implique un partage des bordés impeccable pour une esthétique satisfaisante. Effectivement, deux varangues paraissent plus sage.
Merci de tes conseils; en attendant de trouver des sous je redessine le projet pour m'orienter vers quelque chose de plus aviron et d'un peu plus sportif à la voile tout en restant assez marin (chez moi, l'eau est froide en hiver, très fraîche en été). Je vise 4m50 de long, 1m50 de bau, largeur des fonds autour de 1m05, creux autour de 0m55-0m60. Une sorte de plate-doris, plus voilier que l'un, moins lourde à l'aviron que l'autre
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Message non lu par lledew »

Oui, tu as raison de reprendre ton dessin . A vrai dire je trouvais tes fonds trop larges. :wink:
Concernant l'épaisseur des bordés, je ne sais pas si tu gagneras grand- chose en poids. Pour moi, c'est un raisonnement qui est surtout valable sur des unités assez importantes. Une plate de cette taille est ordinairement bordée en 18. Qu'elle que soit la structure, il ne me parait pas raisonnable de descendre au dessous de 14. Dans ce cas, on gagne une quinzaine de kilos mais combien pèsera la structure complémentaire nécéssaire? Sans compter le temps passé.
Le choix entre border franc et border à clins dépend surtout d'un autre paramètre que l'épaisseur: La qualité du bois disponible. Si celui-ci n'est pas parfait et bien sec, autant renoncer à border à franc bord ou alors il vaut mieux recourir à la methode qui avait cours en charente: border à mi-bois ou même à planches bouvetées.
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Message non lu par tetrode »

Je pensais à la finition de ta plate, Ronanm

Dans le post précédent, tu disais que la glycéro c'était pour la simplicité et que tu préférais 1 ou 2 jours de barbouille par an que 15 jours en atelier tous les 5 ans.

Cela, je le comprends bien; mais qu'est-ce que tu proposerais comme finition-protection ?

Je suis d'accord avec toi, l'huile de lin protège bien, nourrit le bois et est facile à mettre en oeuvre. Un moment, j'ai pensé que tu parlais de peinture à l'huile de lin, mais je dois surement me tromper...
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ronanm
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Message non lu par ronanm »

Bonjour.
Tetrode qu'entends-tu par finition protection? La protection c'est la peinture plus le primaire!
-Primaire: apprêt antirouille pour les sels métallique qu'il contient qui constituent un excellent fongicide,
-finition: peinture glycéro, antirouille elle aussi de préférence.
Rien d'autre. Ah! si, j'oubliais: copieusement arroser le bateau à l'eau de mer le plus souvent possible et naviguer régulièrement.
Tout ça peut sembler très archaïque mais ça a le mérite d'avoir fait ses preuves. Mon Muscadet n'avait jamais subi d'autre traitement (peut-être quand même des alkides), quand je l'ai vendu au bout de cinq ans,il en avait trente, il était absolument nickel (décapage complet).

Une petite histoire pas maritime:
Ça fait quarante ans que j'entends dire que depuis quinze ans , on a fait des progrès dans les traitements anti-uv des fenêtres en pvc; ça fait quarante ans que je vois les fenêtres en pvc âgées de 20 ans casser comme du verre (pour des fenêtres, c'est peut-être normal).
Pour l'huile de lin: ces pouvoirs d'accroche sont assez surprenants, c'est une peinture à l'huile de lin (+ oxydes métalliques surement pas très sains) qui a protégé la tour Eiffel pendant ses 70 premières années.
Faire sa propre peinture à l'huile? je le fait pour mes tableaux, j'ai fait queques essais autrement, mais c'est une solution très chère (prix des pigments si on veut autre chose que des terres) pas fongicide ( où est passé le minium en poudre?) et peu solide, il faut en repasser souvent.
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les plans avancent...
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Message non lu par tetrode »

je suis heureux que tes plans avancent. Tiens-nous au courant, j'essaie de m'accrocher au niveau du vocabulaire et notions de construction marine.

Pour revenir à la protection et finition pour un bateau en bois, je n'y connais rien , c'est pour cela que je te demandais des éclaircissements.

Il faudrait donc tout d'abord une couche primaire aux oxydes métalliques suivie par la peinture proprement dite (glycérophtalique de nos jours).

Le minium en poudre ne doit plus être disponible maintenant (peut-être chez Sennelier ?) du fait de sa toxicité. Mélangé à l'huile de lin, il a fait très longtemps une excellente protection. Le primaire a base de sels métalliques dont tu parles serait celui contenant du Zinc qui aujourd'hui remplace le minium pour la protection du métal ?

Il existe peut-être quelque chose de spécifique mais je n'ai rien vu en grande distribution.

Comme tu parlais d'huile de lin plus facile d'utilisation que le vernis, j'avais cru que la peinture finale l'utilisait. Ce type de peinture, qui n'est plus fabriquée à ma connaissance (sauf pour certains peintres d'art dont j'ai l'impression que tu fais partie, qui continuent à la préférer à l'acrylique pour sa souplesse d'utilisation, ses facilités de reprise et de modelé à mi-séchage) doit être plus facile à enlever lorsque l'on veut la refaire.

C'est vrai que les pigments à mélanger à l'huile de lin sont chers, l'oxyde de Zinc et l'oxyde vert de Chrome doivent être encore abordables et sont très solides à la lumière; avec les terres, cela fait une petite palette minérale très stable.
On ne peut pas en dire autant des pigments organiques modernes.

Je veux bien croire que le meilleur ami du bateau soit l'eau de mer mais elle est bien loin de chez moi, hélas...
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Message non lu par sly »

Mouaiffff...
Dans un chasse-marée récent (214) n°, j'ai lu un article fort intéressant sur les lougres de l'Odet.

Ces bateaux de pêche étaient construits essentiellement en chêne (étrave, étambot, marsouin,courbes, barrots, membrures, virures des bordées), orme (quille, carreaux,plat-bord, pavois, fargues) et sapin (pont). toutes les pièces métalliques (clous et chevilles) étaient mastiquées au minium, tandis que la coque recevait deux couches de "black".

Je ne voudrais pas jouer les rabat-joie, mais dans cet article, il est indiqué que la durée de vie moyenne d'un tel navire (de 14 à 18 mètres, quand même) était de 12 ans ! et ça n'était certainement pas à cause d'un manque d'utilisation ou de salinité de l'eau...

Alors, d'accord pour chercher les "bonnes vieilles recettes" de grand mère, mais bon, il y a quand même certainement du bon dans le progrès...
Mmmh, tu vois, Tuco, le monde se divise en deux catégories : Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses... An-y-An-y-An...Ouin, Ouin, Ouin...
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Rien à voir avec la pourriture! Ces bateaux étaient simplement rendus à bout de bord par la dureté du métier: navigation par tous les temps et échouages à pleine charge, talonnages fréquents, tout ça fatiguait énormément la charpente. j'ai vu et navigué sur des vieux bateaux de charge (goémoniers et gabarres): pourritures mineures et très localisées, souvent sur le pont mais structure très fatiguée faisant que ses bateaux prenaient l'eau comme des paniers dès qu'on naviguait dans des conditions difficiles. Pour les vieux bateaux de plaisance, la pourriture vient que ses bateaux ont connu des périodes d'abandon, ils ont aussi des problèmes de structure car il n'est jamais simple d'accrocher un lest sur une structure bois classique. J'ai par contre vu des bateaux de pêche assez anciens en très bon état, leur entretien annuel se limitant à une marée (deux ou trois jours), j'en connais un, mais les exemples sont nombreux, qui travaille depuis 1969: rien de pourri et pourtant l'entretien n'est pas le fort de son patron!
Pourquoi, à votre avis voit-on autant de bateaux de pêche restaurés et si peu de bateaux de charge?
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sly
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Je vais certainement me faire engueuler, mais mon expérience sur plusieurs continents me dit également que la durabilité des bois est fortement liée à la période de coupe en sève montante et en lune descendante pour les uns décroissante pour les autres... De toute façon, difficile à trouver de nos jours, à moins de couper soi-même ses arbres.
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Bonjour Sly,
Ce que tu explique à propos de la coupe de l'arbre m'a déjà été confirmé par des forestiers pour la qualité du bois en général. Puisque plusieurs sources se recoupent, il y a surement du vrai là-dedans...

L'explication pourrait être celle-ci :
Après l'aoûtement, la nouvelle couche de bois s'est formée mais c'est le froid de l'hiver qui va la densifier et la durcir. Ce rôle du froid peut être facilement constaté, les espèces nordiques ou d'altitude ont un bois plus dense et plus résistant qu'une même espèce qui a poussé en plaine.
Le fait de couper en sève montante (avant la création d'un nouveau bois) assure que ce processus est complétement arrivé a son terme.

La Lune décroissante est a la fin de son cycle donc associé à un murissement.
J'ai toujours entendu dire que les légumes à chair étaient meilleurs récoltés à ce moment.

Donc, en coupant l'arbre au moment que tu décris, on a toutes les chances de son côté pour que le bois soit le meilleur possible.

Il faudrait, dans des conditions idéales, non seulement pouvoir choisir le moment de couper mais aussi l'arbre d'où l'on va sortir les différentes pièces. J'ai vu une gravure qui en représentait un avec une très forte branche latérale, un peu comme ces arbres que l'on voit près des côtes, penchés du fait d'un vent dominant. On indiquait, sur le dessin, la façon dont on allait en sortir l'étrave et la quille en une pièce ( partie courbée et une partie du tronc) plus la barre dans la partie restante. Ceci plus le bon choix de l'essence pourrait expliquer pourquoi les constructions des anciens pouvaient bien tenir sans les moyens que nous avons maintenant.
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Pour revenir au projet:

Image

Une idée plus axée sur les performances pour une navigation en solitaire:
-largeur des fonds minimum
-volumes importants à l'arrière
-lignes tendues
-coefficient prismatique élevé

Les inconvénients de la formule:
-raideur à la toile modérée
- formes peu propices à l'aviron
- capacité de charge limitée: risque de pousser et de trainer de l'eau

Ces défauts peuvent être compensés par une surface de voile plus importante, quitte à réduire vite, un banc de nage un peu avancé pour dégager et affiner l'arrière, beaucoup de soin dans la construction pour garder une coque relativement légère ainsi qu'une grande vigilance dans le centrage des poids en navigation. D'après FreeShip, je gagne quand même 0,7 nœuds par rapport au projet précédant et une capacité à planer plus importante (en solitaire, sur des bords particulièrement favorables).
Par contre, il faudra surtoiler dans la pétole...

J'ai aussi donné un peu de rond aux jambettes de l'avant et de l'arrière pour augmenter le volume des œuvres mortes, l'eau est froide chez moi , je veux un bateau relativement sec

J'y retourne!
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